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La Mairie de Paris a reçu vendredi 18 septembre 2009, la délégation CGT, avec ses représentants des grands magasins, venue lui demander de ne pas étendre les zones touristiques dans la capitale.

D’emblée ; l’équipe qui nous reçoit nous annonce que la position du maire est claire, il est opposé au projet de société proposé, il n’y a pas d’ambivalence, pas d’ambiguïté. Elle rappelle que depuis la 1ère mandature, Bertrand Delanoë n’autorisé qu’une ouverture de zone touristique, à Montmartre, et que tout projet d’extension était impérativement soumis à 3 conditions: un accord avec les organisations syndicales, l’intérêt économique et l’opinion des riverains.

Aujourd’hui, la position affichée par le maire de Paris, sur le passage en zone touristique du boulevard Haussmann, n’est plus aussi affirmée. Il y a, selon monsieur Osmond, « un avant et un après le vote de la loi. »

La mairie a pris conscience, nous dit on, que dans les grands magasins, les accords passés entre les directions des magasins et les organisations syndicales ne concernent qu’une partie des salariés, en sont exclus ceux qui travaillent pour des entreprises extérieures. La mairie de Paris craint aussi l’effet»  tâche d’huile» ; selon Eric Osmond, l’exemple des commerces alimentaires laisse présager toutes sortes d’abus…

La délégation CGT a réaffirmé son opposition à l’extension du travail du dimanche, à la création de nouvelles zones touristiques sur Paris. Elle a présenté ses arguments, proposé d’élargir le débat sur le travail du dimanche, aux fermetures tardives et au travail des jours fériés, qui participent à la dérèglementation de l’organisation du temps et des conditions de travail.

La CGT a également proposé d’organiser le dialogue social et territorial, pourquoi ne pas envisager des accords locaux au niveau de la ville, concertation puis négociation avec les organisations patronales…

La Mairie de Paris, très intéressée par le principe des accords locaux, une vraie proposition selon elle, propose une rencontre avec l’ensemble des organisations syndicales, dans la 2ème quinzaine d’octobre, une fois les décrets d’application sortis, une table ronde représentants des salariés et ville.

La mairie de Paris s’opposera t elle à l’extension des zones touristiques dans la capitale ? La question reste posée…

La loi est votée mais rien n’est joué, nous devons être à l’offensive, multiplier les actions pour faire entendre notre voix : les salariés des grands magasins veulent aussi une vie en dehors du travail

Collectif des Grands Magasins Parisiens de l’US CGT COMMERCE

http://uscommerceparis.free

Malmenés par leur Direction et leur actionnaire principal France Télécom, les salariés de Photo Service et de Photo Station se mobilisent à travers plusieurs rassemblements nationaux, ainsi que devant leur siège social (la Plaine St.Denis) le 23 septembre à 10h00.

France Télécom est désormais propriétaire de 48,5% du capital de la Compagnie Européenne de Téléphonie qui possède les 500 magasins Photo Station/Photo Service. Ce réseau de magasins a été regroupé par fusion-absorption le 1er juillet 2008 au sein d’une seule société : la Générale de Téléphone. Certaines boutiques Photo Service et Photo Station ont désormais pris l’enseigne ORANGE et vendent ainsi des téléphones mobiles pour cette marque.

Depuis cette prise de participation financière, 200 boutiques ont disparu et 1500 emplois ont été détruits dont 450 licenciements. Des pressions psychologiques sont toujours exercées sur l’ensemble du personnel afin qu’il quitte l’entreprise.

France Telecom-ORANGE est co-responsable de cette situation, orchestrant un nettoyage de l’entreprise, via deux plans de sauvegarde de l’emploi avec des conditions au rabais. La fusion a également entraîné la perte des accords d’entreprise en vigueur au sein de Photo Service et Photo Station : la direction, dans un simulacre de négociation, propose une harmonisation des statuts vers le bas.

Ceci est indigne des salariés ayant fait de nombreux sacrifices, depuis 2005, au moment où l’activité de la téléphonie a été introduite dans les magasins Photo Station/Photo Service.

Le 1er septembre 2009, une quinzaine de salariés a envahi le Conseil d’Administration et prévenu les actionnaires de Générale de Téléphone d’un durcissement de ton face à cette gestion déplorable du personnel.

Tous les salariés de l’entreprise sont appelés à se mobiliser afin de faire entendre leurs revendications le 23 septembre prochain à travers des rassemblements dans toute la France et également à 10H00 devant le siège social de l’entreprise à La Plaine Saint Denis (derrière les studios de TF1 et face au Studio Taratata).

Nous réclamons le maintien des emplois et de meilleures conditions de travail.

Nous exigeons une réelle négociation ainsi qu’une harmonisation des dispositions les plus favorables des anciens Accords.

Nous refusons de devenir des sous-traitants exploités à bas prix de France Telecom / Orange et d’être mis en concurrence avec les salariés de cette entreprise.

Contacts :

Patrick Rouzière                          06 87 53 21 40

Olivier Roisin                                 06 76 85  46 95

Christine Malaverne                     06 30 34 48 55

Grève Nationale et Manifestations Locales Tous en grève le mercredi 30/09/09

Les négociations doivent se terminer le 06/10/2009 c’est donc l’ultime recours pour faire fléchir la direction et dire :

NON aux Indemnités au rabais, NON aux Licenciements SOYONS SOLIDAIRES : MOBILISEZ VOUS, RASSEMBLONS NOUS, PAS DE TRAVAIL CE JOUR LA !

Manifestez votre INQUIETUDE et votre COLERE!

A Grenoble, RASSEMBLEMENT à 10 HEURES Place Félix Poulat.

L’intersyndicale appelle tous les salariés Marionnaud du réseau France à se mobiliser contre la suppression des 704 emplois *Nous demandons l’intégration des caissières, manutentionnaires et agents de sécurité dans la catégorie vente (dans le cadre du plan social) *Nous demandons la réduction du nombre de postes supprimés : Siège et Magasins pour tenir compte de nos charges réelles de travail. Pour La direction les économies doivent être immédiates, alors qu’avec une meilleure gestion sur 3 ans, le PSE (Plan Sauvegarde de l’Emploi) aurait pu être évité. Le PSE n’est pas la seule alternative; La direction a fait son choix : le PSE 2005 (Rachat)= 6200 salariés ; 2008 = 4866 salariés fin 2009 = 3999 salariés ; 2010 = combien ? Manifestations locales le mercredi 30 septembre TOUS EN GREVE !

Les 11 agents de sécurité de l’entreprise ACP Protection ont décidé avec la CGT d’occuper le magasin MONOPRIX « Tout-Va-Bien» , 15 Bd Saint-Denis à Paris (2ème) .

En grève depuis 5 plus mois pour leur régularisation, ils attendent que l’employeur remette les formulaires de déclaration d’embauche et de règlement pour la redevance à l’ANAEM, seules pièces manquantes pour compléter les dossiers déposés en Préfecture.

Ces formulaires sont remplis mais l’employeur conditionne leur remise à un protocole inacceptable. Il demande que la redevance soit payée par les salariés, cette clause ne pouvant être écrite sur un protocole, il propose que les salariés s’en acquittent par du travail dissimulé.
L’employeur veut suspendre les contrats de travail des grévistes en attendant l’instruction des dossiers et être dispenser de toute indemnité de licenciement.

C’est en toute connaissance de cause que cet employeur qui se vante d’avoir des amis dans la police et à la Préfecture, a recruté au moins 20 agents de sécurité travaillant principalement chez MONOPRIX.

Nombreuses initiatives ont été mises en œuvre devant les magasins MONOPRIX, au siège de l’entreprise ACP Protection, des courriers ont été remis au Ministère de l’intérieur sans aucun résultat concernant ces 11 agents grévistes.

Employeur, donneurs d’ordre et pouvoirs publics ne veulent pas admettre que dans cette profession très réglementée il puisse y avoir des travailleurs sans papiers et c’est pourtant une réalité comme dans tous les secteurs où conditions de travail et salaires sont au plus bas.

Cette mauvaise volonté évidente à ne pas accorder la régularisation à des salariés en poste depuis 8 ans démontre une complicité entre patronat et pouvoirs publics pour maintenir la clandestinité et la loi du silence. Dans de telles conditions, il est facile d’exploiter au delà des dispositions légales prévues par le code du travail.

Actuellement, chez ACP Protection et dans les Monoprix des travailleurs sans papiers travaillent illégalement, employeur, donneurs d’ordre et Gouvernement le savent parfaitement, seuls les grévistes sont sanctionnés.

Nous exigeons la régularisation de tous les salariés d’ACP Protection et nous comptons bien que la Direction de MONOPRIX intervienne pour que ses agents de sécurité puissent continuer à travailler en toute sérénité dans ses magasins.

Contacts :
Rémy Picaud US CGT Commerce Paris 06 14 78 91 51
Traore Modibo salarié ACP protection 06 71 00 96 55
Dominique Lafontaine Fédération CGT Commerce services 06 08 86 52 57

Des nouvelles :

Une dizaine de vigiles sans papiers, de la société ACPProtection, occupent jour et nuit depuis mercredi 9 septembre l’entrée d’un Monoprix dans le 10e arrondissement où ils travaillent en tant qu’agents de sécurité. En conflit depuis 5 mois avec la société ACP, qui a suspendu leur contrat de travail, ils demandent que leur employeur soutiennent leur régularisation. Maliens, pour la plupart, certains travaillent depuis six ans dans l’irrégularité. Selon Dominique Lafontaine, secrétaire fédéral CGT : « ACP a refusé de leur faire une promesse d’embauche nécessaire pour une régularisation et leur a demandé de payer les 900 euros qui incombent à l’employeur en cas de régulatisation» . Aujourd’hui, après 5 mois de grève, les négociations entre les agents concernés et la société ACP sont rompus et le dossier serait entre les mains du ministre, Brice Hortefeux. Nouvelobs.com s’est rendu devant le Monoprix.


mardi 01.09.2009, 04:46

Les militants CGT à l’entrée du centre V2, hier après midi.

Une cinquantaine de militants de la CGT ont distribué des tracts, hier après midi, dans la galerie V2 à Villeneuve d’Ascq, pour rappeler leur hostilité au travail dominical.

Pour le syndicat, la loi validée par le Conseil constitutionnel sera source d’inégalité. « Selon qu’ils travaillent en zone touristique ou en PUCE (périmètre d’usage de consommation exceptionnel), les salariés n’auront pas les mêmes contreparties. De plus cette loi ne devrait pas créer d’emplois, car le pouvoir d’achat des salariés n’est pas extensible », estime Michèle Chay, secrétaire général de la fédération du commerce.

De son côté, la directrice du magasin Auchan implanté au coeur d’une galerie de quelque 140 boutiques ne souhaitait pas s’exprimer en profondeur sur le sujet. « On n’est pas des fervents partisans du travail le dimanche, concédait Cathy Collart, dans l’attente non seulement des décrets d’application de la loi, mais aussi de la position adoptée par la communauté urbaine et le préfet. « D’après ce que j’ai compris, ils ont leur mot à dire  », soulignait la jeune responsable. À Auchan, des réunions sont programmées les 23 et 24 septembre, confiait encore Cathy Collart. •

La Voix du Nord

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Rappel :Pendant 9 jours, 7 salariés se sont mis en grève et 4 d’entre eux on fait une grève de la faim durant 7 jours. Ces salariés ont des familles nombreuses (de 3 à 8 enfants) dont les seules ressources sont le revenu du « chef de famille ». Depuis le 21 mai, les employés de « chez Oscar » subissent : Des MENACES de mort sont proférées à l’encontre du Déléguédu Personnel devant les collègues et à plusieurs reprises.  

SALAIRES et COTISATIONS SOCIALES IMPAYES :  Aujourd’hui, les salariés en lutte n’ont toujours pas été rémunérés et ce, depuis le mois de mai pour certains. Certains salariés ne sont pas déclarés à l’URSSAF et le droit du travail est constamment bafoué. 

RACISME :  « … travail de sale arabe… », « … travail de sale nègre… » le chef de cuisine vide les détritus d’un sac poubelle et ordonne au commis de cuisine maghrébin : « Ramasses car c’est un travail d’arabe ! » Le gérant dit « qu’il va dégager tous les bougnoules car ils sont dégueulasses et qu’on n’a pas besoin d’eux ! » 

HARCELEMENT MORAL : le gérant refuse aussi de serrer les mains des salariés arabes et des noirs ! Des accusations de vol et des gestes obscènes sont proférés. L’action du « patron » a pour OBJECTIF d’atteindre les familles dans leur dignité et de les amener à démissionner !!! Encore une fois, c’est la solidarité syndicale qui a primé sur la soumission et l’individualisme 

Réponse de l’employeur : licenciement pour faute grave et mise à pied conservatoire pour tout le monde !  

  • jusqu’au 25 août, le « patron » ne s’était toujours pas manifesté pour ensuite pousser la mesquinerie, à son comble, en nous envoyant des lettres de mise à pieds conservatoire, pour refus de reprendre le travail alors qu’il a fermé d’office le restaurant le 1er août.
  • Après vérification auprès du tribunal du commerce il apparaît que celui à l’origine du conflit ne figure dans aucun registre concernant « chez oscar » ??? ??? ???

 

Nos revendications :

  • le paiement des salaires et des cotisations sociales en urgence  de tous les salariés.
  • que justice soit faite et les actes racistes punis,
  • le respect de la législation du travail et l’arrêt de l’impunité pour tous ces patrons voyous

 

nous n’avons ni eau courante, ni électricité, ni toilettes… ce que la Mairie de Paris trouverait indigne pour Paris-plage, ne l’estime pas nécessaire pour des salariés en lutte jour et nuit depuis bientôt un mois

 Suivez les évolutions du conflit sur le blog      http://lutte-chezoscar.blogspot.com/

Dernières nouvelles datant du 31 août 09 : l’administrateur envisagerait un redressement judiciaire et ne précise rien sur « le fond de garantie des salaires (AGS). Pour septembre et octobre, la solidarité financière reste de mise, par avance merci

Lettre Ouverte à M. Bertrand Delanoë, Maire de Paris

Paris, le 20 août 2009,

Monsieur le Maire,

Notre Organisation Syndicale CGT, les salariés des Galeries Lafayette Haussmann et de la

démonstration que nous représentons, sont très inquiets des applications futures de la Loi

concernant les ouvertures dominicales.

Le Conseil Constitutionnel vous a donné, à juste titre, le pouvoir de décision en matière de

création de zone touristique.

Or, la direction des Galeries Lafayette se prévaut dans la presse de vous avoir rencontré à de

multiples reprises afin que le boulevard Haussmann soit classé en zone touristique.

Vous n’êtes pas sans savoir les conséquences dramatiques qu’une telle décision aurait pour nous.

Bien souvent très mal payés et subissant des horaires de travail de plus en plus tardifs, nous

verrions notre vie familiale, sociale, associative se dégrader encore plus.

Nous n’aurions plus de temps de repos commun avec les nôtres.

Les craintes sont d’autant plus fortes parmi les employés, cadres et agents de maîtrise des

Galeries Lafayette que chez nous le volontariat, qui n’existerait peut être même plus, a toujours été

illusoire. Nombre de salariés nous ont fait part de l’insistance de leur hiérarchie pour qu’ils se

portent « volontaires ».

Quant aux embauches promises, il parait bon de rappeler que, malgré l’extension d’amplitude

d’ouverture du magasin, en 2008 le nombre de salariés Galeries Lafayette a diminué de plusieurs

centaines.

Dans les prochains jours, la CGT des Galeries Lafayette a donc décidé de faire signer aux

salariés une pétition  contre le classement du boulevard Haussmann en zone touristique. Nous

sollicitons un rendez-vous afin de vous la remettre et de vous exposer les revendications légitimes

des salariés.

La question du travail dominical est primordiale pour l’avenir de celles et ceux qui travaillent

aux Galeries Lafayette Haussmann.

Recevez, Monsieur le Maire, l’expression de nos salutations distinguées.

Céline Carlen

Secrétaire Générale




Unalbe to show flash video

La Direction de « Chez Oscar » s’était engagée, lundi 10 août, à établir les feuilles de paie et à faire les virements des salaires impayés depuis juillet, voire mai pour certains. Un rendez-vous était pris le lendemain pour négocier un protocole de fin de conflit.

Mardi 11 août, en présence du contrôleur du travail, l’employeur a finalement refusé toute discussion et maintenu son restaurant fermé. Son prétexte : la présence de la presse et d’une soixantaine de militants de la CGT venus soutenir les employés du restaurant. Les salariés n’ont toujours pas leurs feuilles de paie et aucun virement n’est encore parvenu sur leur compte bancaire…

chez oscar 003

Communiqué de presse

Ouverture des magasins le dimanche:

Le conseil constitutionnel a validé une loi injuste !

La décision du Conseil Constitutionnel du 6 août 2009 a validé la quasi-totalité de la loi permettant désormais les ouvertures dominicales des commerces dans les communes et zones touristiques et les PUCE (Périmètre d’Usage de Consommation Exceptionnel).

Balayant les arguments pourtant pertinents de l’opposition à l’origine de sa saisine, le Conseil Constitutionnel s’est réfugié derrière la notion très floue et contestable de l’évolution des modes de consommation dans les grandes agglomérations pour valider une loi qui somme toute, entérine des pratiques qui étaient illégales et pourtant couramment pratiquées par bon nombre de commerces de détail jusqu’à présent.

Créatrice d’inégalités entre les salariés qui travaillent dans des zones touristiques où les employeurs ne seront pas tenus d’accorder des contreparties au travail dominical et ceux qui travaillent dans les grandes agglomération, la loi va très rapidement conduire à la banalisation du travail dominical et aura des conséquences qui dépasseront très rapidement le seul secteur du commerce.

Loin de se résigner, la Fédération du Commerce et des Services entend bien « organiser la résistance » en continuant à impulser sa campagne d’information en direction des salariés, mais aussi en interpellant les élus locaux dans toutes les villes concernées par la nouvelle législation.

CONTACT :

Stéphane FUSTEC 01 48 18 83 11

06 13 61 28 86

fustec@free.fr

Faisant suite au rassemblement de soutien qui a eu lieu le 30 juillet dernier devant le JOACASINO d’Uriage (38) demandant la réintégration de Roselyne TERMAT (cadre,membre du comité de Direction et syndiquée CGT) et injustement licenciée. Une remise de pétitions sera déposée par une délégation composée de salariés syndiqués CGT et de par des Clients du JOACASINO d’Uriage (38), au siège social du Groupe JOACASINO (3ème groupe français de casino jeux),

Le jeudi 6 aout 2009 à 17H30

A la Cité Internationale 34 Quai Charles de Gaulle 69463 LYON

Cette remise de pétitions se fera lors d’une entrevue avec Monsieur Michel LORENT, Directeur Territorial Zone Nord du Groupe JOACASINO prévue à 18h.