Articles avec le tag ‘Actualité des luttes’

Mercredi ont lieu des assemblées générales dans bon nombre de magasins IKEA pour déterminer des actions à menées. Plusieurs magasins sont en grève.

La réunion de négociation qui devait avoir lieu mercredi à 10h au siège a été annulée unilatéralement par la direction de IKEA. Constituant un délit d’entrave aux règles de dialogue social, notre organisation a saisie l’inspection du travail qui intervient en ce moment même auprès de la direction.

Par ce refus de négocier, la direction « met de l’huile sur le feu » en jouant la carte du pourrissement du conflit !!!

Nous exigeons la reprise immédiate des négociations et appelons les salariés à rester mobilisé en vue d’une action d’ampleur samedi 13 février sur nos revendications :

  • 4% d’augmentation de salaires
  • Un 14ème mois de salaire
  • L’embauche de salariés pour répondre au sous-effectif qui dégrade considérablement les conditions de travail.
  • Deux jours consécutifs de repos par semaine pour tous.
  • Une prime « intempérie » pour les salariés « Caddy-man »

Pour mémoire :

la direction de IKEA « propose » 0% d’augmentation générale sur les salaire alors que parallèlement l’entreprise a dégagé 58 Millions de bénéfice net pour 2009 et que le fondateur d’IKEA touchera lui cette année ses 3% de chiffre d’affaire, à savoir 68 millions d’€uros !!!

SOYONS SOLIDAIRES, MOBILISONS NOUS

Pour nous contacter :

DSC CGT IKEA : Marylene LAURE-DOUILLY : 06 82 45 40 00

Fédération du commerce et des services CGT : Olivier Bireaud : 06 12 69 84 12

Mercredi 10 février 2010

Communiqué des organisations syndicales et associations soussignées, signataires de la lettre du 1er octobre 2009 au Premier ministre pour une circulaire de régularisation des travailleurs et travailleuses sans papiers.


Trop c’est trop!

Le Tribunal de Grande Instance de Paris vient d’ordonner l’évacuation des travailleurs sans papiers en grève, des locaux du FAF-SAB (Fond d’Assurance Formation des salariés de l’Artisanat du BTP), 8 rue du Regard, Paris 6ème.

Pour les onze associations et syndicats qui soutiennent le mouvement des 6000 salariés sans papiers grévistes, cette décision « s’inscrit dans une trop longue série de jugements favorables au patronat depuis notamment l’évacuation de l’agence d’intérim Synergie rue de Rome, le 24 octobre 2009″.
Les occupants du 8 rue du Regard sont des ouvriers sans papiers du bâtiment, ils occupent ces locaux depuis le 15 décembre 2009. Isolés dans leurs petites entreprises ou intérimaires, ils n’ont pas d’autre lieu pour pouvoir exercer leur droit constitutionnel de grève. 6 janvier, de nombreuses personnalités sont venues sur place leur apporter leur solidarité. Des personnalités plus nombreuses ont appelé par voie de presse à les soutenir ainsi que leurs six mille camarades en grève.

Les onze organisations (Cgt, Fsu, Union syndicale solidaire, Autremonde, Cimade, Droits devant, Femmes Egalité, Ligue des droits de l’homme, Resf. ) « appellent les organisations syndicales, les associations et tous les citoyens à se rendre dès 17 heures ce mardi rue du Regard (métro St Placide) pour affirmer leur solidarité avec les grévistes et se tenir à leur côté en cas d’intervention policière. « 

La détermination des salariés de PIER IMPORT, menacés par 150 licenciements, ne faiblit pas.

Le 3 février, lors de la réunion avec les administrateurs judiciaires et le CE, aucune avancée significative n’a été apportée au PSE en cours de négociation.

Par ailleurs, l’actionnaire principal de PIER IMPORT, Monsieur Claude Ben Behe, qui s’était engagé à rencontrer les élus CGT et CFDT, n’a pas respecté son engagement.

C’est un insupportable mépris pour les salariés concernés qui ont contribué à la richesse de l’entreprise.

Leur colère continue de s’exprimer. Trois rassemblements sont organisés, samedi 6 février (vers 15h) devant les magasins La Farfouille (entreprise détenue par les actionnaires de FORFINANCE et de PIER IMPORT) à :

Romans Sur Isère
3, avenue des Allobroges, 26100 ROMANS
Contact :
Gilles RODRIGUE – Tél. : 06 78 40 63 06

Bordeaux
Impasse du Docteur Jean Vincent, ZAC Aliénor d’Aquitaine, 33300 BORDEAUX LAC
Contacts : 
Agnès GERMAIN – Tél. : 06 86 34 77 65
Jésabelle ROCHER – Tél. : 06 59 94 39 95

Région parisienne
4, rue du Fort (derrière le centre commercial), 77340 PONTAULT COMBAULT
Contact :
Nafissatou MÉNARD – Tél. : 06 45 76 50 03

La fédération est solidaire de cette action des salariés de Pier Import et interpelle également le ministère du Travail, en apportant son soutien au courrier des élus CGT et CFDT du CE qui demandent une rencontre avec son cabinet et celui d’Hervé Novelli.

Montreuil, le 5 février 2010

CONTACT : Thierry Ménard : 06 83 39 97 24

Lire les courriers adressés :

au ministère du Travail, par le CE de Pier Import au Secrétaire d’État au Commerce, Hervé NOVELLI, par la Fédération CGT du Commerce, Distribution, Services

L’intersyndicale CGT, CFDT, FO, CFTC appelle les salariés à débrayer les samedi 30 janvier, lundi 1er février et mardi 2 février 2010, jours de l’inventaire du magasin. Une mobilisation est également prévue ce même mardi pour soutenir les délégués syndicaux de l’entreprise qui ont rendez-vous à 15 heures 30 avec la direction pour négocier à la hausse le montant de la prime d’intéressement sur le chiffre d’affaire (PRCA) de 2009.

Le mécontentement s’était amplifié au Printemps depuis que la direction avait annoncé en Comité d’entreprise, que le taux de PRCA ne serait que de 12% pour 2009, les effets de la crise selon elle. Une baisse importante de leur rémunération que les salariés ne sont pas prêts à accepter.

Mardi 26 janvier, réunis en assemblée générale à l’appel de l’intersyndicale, plus de 200 salariés ont investi les locaux de la direction générale pour protester contre cette mesure « qu’ils considèrent comme une injustice et un partage inéquitable du produit des efforts consentis» . Ils ont clairement fait comprendre que si la direction ne revoyait pas sa copie, l’inventaire pourrait être boycotte. Paolo de Cesare le PDG du Printemps s’était engagé, devant l’importance de la mobilisation, à examiner avec la direction générale, la possibilité d’une prime exceptionnelle qui devait être annoncée avant la fin de la semaine.

L’appel à la grève a été lancé vendredi 29 janvier; pour toute réponse Paolo de Cesare proposait aux délégués syndicaux une rencontre, pour lui permettre »  de définir sa réponse dans les meilleures conditions de dialogue» , mardi 2 février à 15 heures 30, c’est à dire après l’inventaire…

Mercredi 3 février, à 15 heures, les élus du CE de Pier Import, société en redressement judiciaire depuis 5 mois, des représentants de Forfinance et Maître Thévenot, administrateur judiciaire, se retrouveront au 54 – 56, avenue Hoch, 75008 Paris, pour traiter des conditions de licenciement des 150 salariés de l’enseigne.

Cette confrontation fait suite à plusieurs contacts téléphoniques avec l’actionnaire et plusieurs heures de négociation avec M. Thévenot. De plus, résolus à ne pas baisser les bras, les salariés ont occupé le siège social de Pier Import, à Villepinte (93). Soutenus dans leur lutte par la fédération CGT Commerce et Services, ils ont passé la nuit dans les locaux en compagnie du gérant et de la PDG.

L’objectif, pour les salariés, est d’obtenir que Forfinance abonde financièrement le PSE pour que les indemnités légales (2 dixièmes de mois par année d’ancienneté, un pourboire !) soient majorées au minimum à hauteur de 5 dixièmes de mois de salaire par année d’ancienneté.

Le 20 janvier, le tribunal de commerce de Bobigny a confié 20 magasins à la société Atmosphères (dans le cadre d’un plan de cession) et a prononcé, dans le même temps, la liquidation judiciaire des 25 autres points de vente. Les 150 salariés, menacés de perdre leur emploi, exigent des conditions décentes de licenciement. L’actionnaire, Forfinance, a jusqu’à présent refusé toute négociation. Jusqu’au 3 février, les salariés maintiendront la pression et l’appel à la grève.

Le  mouvement est aujourd’hui mené par 6000 salariés sans papiers. avec les onze organisations syndicales qui les soutiennent, jeudi 28 janvier 18h ils sont appellés à un rassemblement métro Varenne puis à manifestation avec lampions (« les femmes au noir sortent de l’ombre» ) vers Montparnasse avec les femmes qui travaillent « au noir»  dans l’aide à la personne, le nettoyage et la confection.

Communiqué des onze organisations et syndicats soutiens du mouvement des salariée(e)s sans papiers
CGT, CFDT, FSU, UNSA, Solidaires, LDH, CIMADE, Autre monde, Femmes Egalité, RESF et Droits Devant

La circulaire publiée par le Ministère de l’Immigration le 24 novembre 2009 portant sur la régularisation des travailleurs sans papiers est inacceptable. Elle laisse de côté les salariés travaillant « au noir », les Algériens et les Tunisiens. Elle exige une « durée significative de séjour » et demande une « volonté d’intégration sociale du demandeur » à des travailleurs !

Les 6000 travailleurs et travailleuses en grève et les organisations syndicales et associations qui les soutiennent ne peuvent accepter ces discriminations et ces formulations vagues qui laisseront les préfectures libres d’interpréter ce texte comme elles l’entendent. Rappelons que c’est pour en finir avec l’arbitraire préfectoral que ce deuxième mouvement de grève a été déclenché le 12 octobre 2009. Le but de la circulaire du 24 novembre est d’essayer de diviser le mouvement de grève en poussant des travailleurs sans-papiers à quitter la grève pour la préfecture et à y déposer des dossiers de demande de régularisation.

Pour obliger le gouvernement à revoir sa copie, il est impératif de continuer à lutter collectivement. Cela passe aujourd’hui par le refus de déposer des dossiers en préfecture et la poursuite de la grève.

Pas de dépôt de dossiers A l’issue de plusieurs Assemblées générales, les grévistes ont décidé collectivement de continuer la grève et les occupations et de ne pas déposer de dossiers en préfecture tant que des critères de régularisation simplifiés et des garanties d’égale application dans toutes les préfectures ne seront pas obtenus. Ils luttent depuis plus de trois mois pour obtenir des critères satisfaisants pour tous les salarié(e)s sans papiers. Déposer, aujourd’hui des demandes de régularisations individuelles sur la base de la circulaire du 24 novembre 2009 sur le travail vient percuter leurs efforts, éloigne la possibilité d’obtenir un texte plus favorable pour l’ensemble des travailleurs (euses) sans papiers et au final appuie le gouvernement contre le mouvement gréviste.

De plus, déposer aujourd’hui son dossier en préfecture, non seulement, ne donne aucune garantie de résultat, mais en outre, comporte des risques importants :
- risque de se voir notifier un refus de régularisation et une OQTF
- risque de licenciement car l’employeur peut décider de ne pas garder dans l’entreprise un salarié dont la situation irrégulière est connue de l’administration.

L’objectif aujourd’hui n’est donc pas de déposer des dossiers, il est de consolider et d’élargir le mouvement :
- en organisant de nouveaux piquets de grève
- en exigeant des employeurs l’établissement immédiat des CERFA
- en développant partout un large soutien matériel et financier en direction des grévistes. Pour ce faire, il ne faut pas hésiter à prendre contact avec l’une des 11 organisations syndicales et associatives qui soutiennent cette demande de circulaire avec des critères satisfaisants pour les travailleuses et travailleurs sans papiers.

Renforcer le mouvement Le mouvement réunit aujourd’hui 6000 grévistes qui travaillent dans 2100 entreprises différentes situées dans 40 départements. Cette mobilisation est inédite, mais elle doit s’étendre encore, en particulier en dehors de la région parisienne pour contribuer à augmenter le rapport de forces en vue d’obtenir un texte plus favorable. Le gouvernement doit comprendre que sa stratégie de faire durer le conflit dans le temps va se retourner contre lui. Aller chercher les demandes d’autorisation de travail CERFA faites par les employeurs Il faut pousser les patrons à remplir les demandes d’autorisation de travail « Cerfas ». Ces formulaires sont la preuve incontournable que nombre d’employeurs veulent la régularisation des travailleurs sans papiers. Les CERFA obtenus vont aussi permettre d’entretenir la pression sur le gouvernement et en particulier sur le ministère du travail.

Les travailleurs sans papiers doivent garder l’original de leurs CERFAS remplis par l’employeur. Une copie de ces formulaires sera centralisée au niveau des 11 organisations avec une photocopie de la carte de gréviste.

Que demander à l’employeur ?

- 4 demandes d’autorisation de travail simplifiées (formulaire CERFA n° 13653*02) remplies à la main
- 1 formulaire d’engagement à verser la taxe OFII (formulaire CERFA n° 13662*02) Ces formulaires sont disponibles sur le site Internet du ministère de l’Immigration. Il est préférable qu’ils ne soient pas datés. Pour ceux qui ont travaillé avec un ou plusieurs noms, l’employeur doit écrire un certificat de concordance : « Je soussigné(e) Monsieur/ Madame XXX (nom du patron) atteste avoir fait travailler Monsieur/ Madame XXX, qui a travaillé sous les identités suivantes : XXXXX ; XXXXX.

Mais avec ces documents remplis et tamponnés il n’est pas question de déposer des dossiers en préfecture aujourd’hui ! Comme l’ont réaffirmé les délégués des piquets de grève, il faut continuer le mouvement et renforcer la grève pour obliger le gouvernement à reprendre sa copie !

Stress au travail

Dénonciation de l’association  « écoute et vigilance » à SODEXO

Depuis le suicide d’Isabelle BEAL,  le 27 février 2007 et les tentatives de suicide de certains salariés à Marseille, La Rochelle, Montpellier et Paris. Sodexo avait pris l’engagement de maître en oeuvre avec les partenaires sociaux et les CHSCT un outil qui devait permettre d’améliorer les conditions de travail des salariées.

A la surprise générale !!! Nous apprenons que  SODEXO soutient une association de loi 1901 créée par des collaborateurs SODEXO, dite « Ecoute et vigilance »

Des vigies membres de l’association sont à votre écoute en toute confidentialité c’est en tous cas le message que veut faire passer sodexo aux salariées.

Pour le syndicat CGT sodexo, cette association est une mascarade car tous les membres de cette association sont des cadres dirigeant de la société sodexo. Ce qui prouve une nouvelle foi qu’au lieu de travailler avec les partenaires sociaux et les CHSCT sur un vrai outil qui permettra aux salariés de travailler dans de bonne condition. La direction de  Sodexo à décider de créer une structure sans consultation de toutes les instances représentatives de l’entreprise.

La CGT informe les salariés qui auront l’attention de renter en contact avec cette structure qu’ils auront à faire non pas à des professionnels qualifiés mais à des membres  de la direction de sodexo.

La CGT sodexo appelle le jeudi 28 janvier 2010, 9h30

rassemblement devant Sodexo, 122 BD Emile Zola à Oullins

ü  Pour dénoncer la précarité, les pressions permanentes conduisant à des

situations de stress, de souffrance au travail,

ü  Pour dénoncer la mise en place d’une association « Ecoute et Vigilance », outil se substituant au CHSCT, seule réponse de la direction sodexo sur la souffrance au travail.

Un hommage sera rendu à la mémoire   d’Isabelle BEAL, qui s’est suicidée le 27/02/07 « trop de pressions au travail ».

Pour tout contact

Amar LAGHA

Délégué syndical CGT

06.74.29.01.51

Hier, à midi , alors que la CGT accompagnée de grévistes, demande à un employeur de remplir ses obligations pour régulariser un travailleur sans papiers dans le restaurant.

le Comptoir situé dans le quartier des Halles, 37 Rue Berger, l’employeur appelle la Police pour intervenir dans un conflit du travail

Dans plus de 1000 restaurants parisiens au moins 2000 grévistes sans papiers attendent de pouvoir travailler dignement.

Nombreux employeurs font des démarches en vue de les régulariser, d’autres moins scrupuleux préfèrent les maintenir dans la clandestinité pour mieux les exploiter, ainsi chaque salarié qui tente sa régularisation en sortant volontairement de l’ombre se retrouve licencié

Visiblement c’est avec le concours de la police que les employeurs veulent maintenir l’exploitation de ces milliers de salariés dans le secteur de la restauration. Ne pas régulariser et licencier un travailleur sans papiers revient à abaisser l’ensemble des garanties collective dans la profession.

La CGT exige que cet employeur remplisse ses obligations pour régulariser son salarié et que les forces de l’ordre n’interviennent plus dans les conflits sociaux comme ce fut le cas au 19e siècle

Nous appelons tous les militants et citoyens à se rendre devant le restaurant le Comptoir, métro les halles au 37 rue Berger pour soutenir nos camarades.

Contact : Serge Sellier Union locale CGT 4e ard  06 85 02 37 27

»  STOP aux salaires de misère, STOP aux conditions de travail déplorables, STOP aux discriminations, STOP aux abus de pouvoir…

« .
En grève depuis le 21 janvier 2010 les salariés des restaurants KFC refusent la prime octroyée par la direction et réclament en plus des augmentations de salaire annuelles, un 13ème mois, l’instauration d’une prime d’ancienneté, des tickets restaurant…

En réunion de négociation annuelle sur les salaires (NAO), la direction a refusé toute augmentation de salaire et proposé une prime de 100 euros bruts annuels, payée fin décembre 2010.

A l’appel des organisations syndicales une quinzaine de restaurants se sont mis en grève dans Paris et la région parisienne.

Vendredi 22 janvier, dernière réunion de négociation, environ 300 salariés envahissent le siège social de KFC France à Nanterre pour faire entendre leurs revendications. En vain, la direction ne cédera pas.

Les salariés de KFC sont en colère, l’entreprise n’est pas touchée par la crise, elle réalise des bénéfices importants, elle a profité de la baisse du taux de TVA, mais pour eux, aucune contrepartie.
Ils sont déterminé à se faire entendre et prêts à se battre, comme chez Mac do , pour leur salaire et leurs conditions de travail.

La CGT, syndicat majoritaire, et la CFDT appellent à maintenir la pression et à amplifier la mobilisation
par des arrêts de travail (11h-15h et 18h-21h) et des grèves.

Travailleurs sans-papiers

Assemblée Nationale : là aussi, ils y ont bossé !

 En présence de députés de différents groupes parlementaires, une conférence de presse aura lieu le:

Mercredi 13 janvier à 11h30

à l’Assemblée Nationale

 7ème bureau

126, rue de l’Université -75007 Paris

Avec les travailleurs sans papiers qui ont renové les locaux de l’Assemblée au 101, rue de l’Université.

Ces travailleurs apporteront les éléments de preuves de leur participation aux travaux et leurs témoignages concernant leurs conditions de travail sur ce chantier.

En comptant sur votre presence, avec nos remerciements.

Les 11 organisations syndicales et associations,

signataires de la lettre du « 1er octobre 09″ au Premier Ministre.

 Contacts Presse :

Raymond Chauveau : 06 60 64 15 76

Marilyne Poulain :  06 33 11 92 24

Olivier Villeret : 06 62 08 07 98